SAINT-VIAUD (44) A CONSTRUIT DES HABITATS INTERMÉDIAIRES POUR SENIORS, JEUNES ET FAMILLES

Commune : Saint-Viaud
Département : Loire-Atlantique
Code commune : 44 192
Population : 2 600 habitants

DESCRIPTION DU PROJET

Thème : Cadre de vie et services

Résumé du projet : Création d’habitats intermédiaires pour une certaine population pendant une période déterminée.

Contexte : La population de Saint-Viaud est vieillissante depuis une dizaine d’années et il n’existait aucune solution pour loger les seniors dans la commune. Arrivé à la tête de la mairie en 2014, Roch Chéraud a exploré toutes les alternatives pour créer un lieu spécifique pour les personnes âgées à partir de 60 ans. Après s’être renseigné pour créer une Marpa avec 10 résidences seniors autonomes et sécurisées, il s’est finalement penché sur la création d’habitats intermédiaires. Plusieurs réunions avec la population ont permis aux élus de monter un projet au plus proche des attentes des habitants.

Objectifs : Loger les seniors sur la commune, accueillir des familles et des jeunes travailleurs.

LE PROJET EN DÉTAIL

Déroulement : Le maire est allé voir les aménagements réalisés dans la commune voisine de Chauvé pour s’en inspirer. Destiné au départ uniquement aux seniors, le projet s’est élargi à la demande de familles et de jeunes travailleurs de pouvoir se loger sur la commune. 6 logements jeunes travailleurs, 7 logements pour les familles et 15 maisons de plain-pied ont été construites. Un cabinet de santé a également été construit à côté des logements. C’est CISN, bailleur social local, qui s’occupe des résidences. Ces habitats intermédiaires vont être inaugurés en octobre 2023.

Année de réalisation : 2023

Durée de réalisation du projet : 5 ans de réflexion et 2 ans de travaux

Coût financier :
855 000 euros (mairie) et 3 500 000 euros (bailleurs social)

Ingénierie : Cabinet Expertise Urbaine

Cofinancements :
Préfecture – 36 000 euros
Région – 57 000 euros
Département – 500 0000 euros
Communauté de communes – 90 000 euros

Partenaires mobilisés : CISN, Expertise Urbaine, Préfecture, Région, Département, Communauté de communes.

POUR ALLER PLUS LOIN

Résultats obtenus : Tous les logements sont habités, la demande est forte. Les habitants sont ravis.

Difficultés rencontrées : Trouver un bailleur social, fragilité du centre de soins infirmiers associatif local, difficultés de recrutement des médecins salariés.

CONTACT

Nom du maire : Roch CHÉRAUD

Téléphone mairie : 02 40 27 53 14

Adresse e-mail mairie : accueil@saint-viaud.fr

Site internet de la commune : http://www.saint-viaud.fr

Le conseil du Maire :

” Il faut faire beaucoup de réunions de concertation et valider les choses progressivement. On a beau avoir la meilleure des idées, si elle n’est pas partagée ça ne marche pas. “

Maire de Saint-Viaud depuis 2014, Roch Chéraud a souhaité redonner un nouveau souffle au village. Observant le monde rural se désertifier peu à peu, il s’est donné pour objectif d’attirer des commerces et de mobiliser les moyens humains et financiers municipaux nécessaires.

Une petite dizaine de commerces se sont ainsi installés à quelques pas de la mairie. « Les murs ont été financés par la commune et les commerçants les ont rachetés après, une fois que leur chiffre d’affaires le leur permettait », explique le maire.

Derrière ces petits magasins, 28 logements ont fait leur apparition en 2023. « Tout ça c’est le projet d’un mandat, j’ai donné énormément d’énergie là-dedans », affirme Roch Chéraud. Parallèlement, le village connaît un net vieillissement de la population et il n’existait aucun lieu d’accueil pour personnes âgées sur place. Pour proposer une solution à ses administrés, le maire a choisi de faire construire des habitats intermédiaires. « Nous souhaitions construire des logements pour que les personnes de plus de 60 ans puissent rester sur la commune, avec un cabinet médical tout prêt et tous les commerces à proximité », indique le maire.

Un projet ficelé selon les attentes

L’élu s’est alors lancé à bras le corps dans son idée. Une idée qui a évolué en fonction des besoins et des demandes des habitants. « Les réunions avec la population et les professionnels de santé ont été très importantes, elles nous ont permis de modifier le projet en fonction de leurs remarques », souligne le maire.

Ainsi, avec l’ancien Conseil des sages et les habitants intéressés, l’équipe municipale a retravaillé son projet pour pouvoir accueillir des jeunes travailleurs et des familles. « Nous avons même pu y loger une famille ukrainienne », précise Roch Chéraud.

Un cabinet de santé de proximité permettra aux résidents d’avoir deux médecins, des infirmiers, un kinésithérapeute et un ostéopathe au pied de leurs portes d’entrées. Le maire explique que « le kinésithérapeute et l’ostéopathe de la commune ont choisi de se déplacer pour venir s’installer tout près des personnes âgées. La pharmacie va aussi bouger prochainement pour être plus proche des nouvelles habitations. »

Favoriser la mixité sociale

Tout ce projet a pour ambition de mélanger personnes âgées, jeunes et enfants. Avec un petit parc de jeu et des tables de pique-nique au centre des 15 maisons de plain-pied à destination des seniors, le maire espère que les gens pourront rapidement se côtoyer et tisser des liens.

« Nous avons également mis en place une cuisine commune qui peut accueillir environ 25 personnes pour que les résidents puissent organiser des repas ensemble. Nous sommes actuellement en train de définir les règles d’usage de ce lieu », indique le maire.

5 ans de réflexion et 2 ans de travaux

Roch Chéraud indique que « pendant les cinq ans de montage du projet, il y a eu quelques difficultés à gérer. Au départ, aucun bailleur social ne souhaitait suivre le village. Ensuite, le centre infirmier associatif à rencontrer des soucis et le recrutement des médecins salariés n’a pas été simple, ce qui explique que les professionnels de santé n’arrivent qu’en octobre 2023 alors que les seniors ont emménagé l’année dernière. » Un médecin de la commune de Vue, située à 13 km de Saint-Viaud, fera le déplacement quelques jours par semaine pour assurer les soins des Vitaliens.

Ce projet a suscité l’intérêt de nombreux partenaires. Les deux années de travaux ont été financés par la Préfecture, la Région, le Département et la Communauté de communes. La mairie a déployé un budget de 855 000 euros.

Aujourd’hui, le maire avoue que le projet ne ressemble pas tout à fait à ce qu’il avait imaginé au départ. « Notre idée a évolué en fonction des opportunités que nous avons eu et des demandes de la population. Ce que je retiens de mon expérience, c’est qu’une idée doit être partagée pour fonctionner. »

FORMATION : UNE OFFRE POUR LES ÉLUS RURAUX – REJOIGNEZ LES ELUS DU DÉRUMAC

L’Association des maires ruraux de France propose depuis 2022 un parcours de formation aux élus des communes rurales.

Pensé par les maires ruraux et pour les maires ruraux, il permet d’accéder à des formations adaptées à vos enjeux et réalités locales (finances, urbanisme, gestion locale, stratégie de développement, commande publique, etc.). Une nouvelle promotion commencera ce cycle de formation de 4 ans début 2024 : n’hésitez pas à en informer tous les membres du Conseil municipal.

Sciences Po Lyon et l’AMRF ont développé ce parcours de formation inédit pour répondre aux besoins spécifiques des élus des communes de toute la France, et en particulier celles composées de moins de 3 500 habitants. 

Face aux enjeux pour consolider la commune comme premier échelon de notre démocratie, ce parcours allie l’acquisition des fondamentaux de l’exercice d’un mandat électif à une formation axée sur le pilotage du développement d’une commune au cœur de son territoire, en intégrant les spécificités de la ruralité. Composé de plusieurs kits thématiques, il propose une validation progressive du diplôme afin de répondre aux contraintes des élus locaux et compléter les acquis par la pratique sur le terrain.

À compter d’avril 2022, les élus admis dans cette première promotion entameront leur parcours de formation d’une durée de 4 ans, à raison d’une dizaine de journées par an.

Pour en savoir plus sur les objectifs, le programme et les modalités d’organisation de ce parcours de formation, consultez la plaquette de présentation du DERUMAC.

Pour candidater, merci de compléter le dossier suivant.

Vous êtes intérressé.e ? N’hésitez pas à poser vos questions, notamment sur le financement, via l’adresse mail dédiée à cette formation : derumac@sciencespo-lyon.fr ou amrf@amrf.fr 

Retrouvez également le guide sur le droit à la formation des élus locaux, rédigé par le ministère de la Cohésion des Territoires, afin de vous aider dans vos démarches. 

ZAN,  L’ACTION, C’EST MAINTENANT

Le Conseil d’administration lance une grande action de mobilisation sur le Zéro Artificialisation Nette et le droit au village. Retrouvez ci-dessous les modèles de motion et de délibération à approuver et pour interpeller votre député.

> Motion

> Modèle de délibération

ARTIFICIALISATION ET AMÉNAGEMENT
LES MAIRES RURAUX PROPOSENT UNE NOUVELLE VOIE DE DÉVELOPPEMENT

Non aux ruralités sous cloche

« Nous proposons un autre aménagement du territoire, favorable au monde rural et à l’équilibre entre les territoires »

L’Association des maires ruraux de France tire la sonnette d’alarme sur les risques de mise sous cloche de nombreux espaces ruraux en raison des décisions précipitées que s’apprête à prendre l’Assemblée nationale concernant l’objectif de réduction du rythme de l’artificialisation des sols à travers le vote d’une loi visant à faciliter la mise en œuvre des objectifs de « zéro artificialisation nette » au cœur des territoires.

Elle dénonce une approche à sens unique qui s’affranchit de l’autre enjeu majeur : la rénovation et la revitalisation des cœurs de villages et de bourgs.

Elle demande au législateur de ne pas valider des choix de l’administration visant à faire des élus locaux de simples exécutants, réduits à se conformer à l’interprétation contraignante des textes opérée par les services de l’État.

> Lire l’intégralité du communiqué de presse de l’AMRF

LES PROPOSITIONS DE L’AMRF

La mise en œuvre d’un réel « plan Marshall » en faveur de la réhabilitation du bâti vacant dans les communes rurales intégrant des moyens financiers, un accompagnement en ingénierie, des outils juridiques facilitant le changement de destination du bâti agricole, une réflexion sur le code du patrimoine. 
L’inscription dans la loi du Droit au projet qui permette de porter des projets d’intérêt communal ou multi-communal.
L’inscription dans la loi de l’inversion de l’exigence : permettre plus à ceux qui ont artificialisé moins
L’intensification des concertations régionales sur l’aménagement équilibrée du territoire associant tous les maires et pas seulement les Scot
Que ce soit le projet qui définisse l’espace à mobiliser et non l’inverse
Une bonne information de la part de l’État sur ses objectifs chiffrés en matière de projets nationaux et européens, la publications d’outils nationaux finalisés permettant aux élus de s’informer objectivement sur les différents scenarii de réduction de consommation des ENAF assortie à la technicité des textes, empêchent la tenue d’un authentique débat politique où les élus décideraient en responsabilité.
Le retrait, dans le décompte régional, de l’artificialisation induite par un projet d’envergure nationale.
La réécriture du décret d’application n°2022-762 dit « SRADDET » pour que la déclinaison territoriale n’impacte pas le solde l’artificialisation d’un territoire dont les administrés ne seraient pas majoritairement bénéficiaires de ce projet, notamment les établissements publics.

RELAIS DE L’ÉGALITÉ (ERRE)

Relais de l’égalité (ERRE)

LE PROGRAMME ERRE EN VIDÉO

Un Rapport du Sénat d’octobre 2021 a mis en lumière certaines conditions d’existence de la vie en milieu rural, exposant les inégalités persistantes aujourd’hui dans l’accès aux droits, l’insertion économique et les violences intrafamiliales. En effet, le rapport souligne que la moitié des féminicides se produisent dans les zones rurales alors que ces zones ne sont occupées que par un tiers de la population.

LE PROGRAMME ERRE

Pour réduire le nombre de féminicides et lutter contre les violences intrafamiliales, l’AMRF a répondu à un appel à manifestation d’intérêt interministériel visant à mettre en place des actions adaptées aux spécificités des territoires ruraux en faveur des femmes et de la lutte contre les violences. Avec sa nouvelle action « Élu Rural Relais de l’Égalité », l’association continue la trajectoire inaugurée lors du Congrès « La Femme, La République, La Commune ». Avec ERRE, l’AMRF renforce la position des élus ruraux dans la lutte contre les violences intrafamiliales, contre les féminicides et pour la prévention, la sensibilisation et l’accompagnement de toutes les victimes.

L’action ERRE se décline autour de trois axes, adaptés en fonction des spécificités départementales et de la mobilisation du réseau :

1. La désignation d’élus référents volontaires départementaux et communaux.
2 . La formation de ces élus – formation à l’accueil, à l’accompagnement et à l’aide des victimes ; participation aux différents forums réguliers en visioconférence ;grâce à des interventions d’experts du domaine lors des forums.
3. L’animation d’un réseau national et départemental, mettant en lien l’ensemble des acteurs impliqués afin de travailler en complémentarité.

Au niveau national, cette action est portée par Dominique Chappuit maire de Rosoy (89) et Eric Krezel maire de Ceffonds(52). 

F A Q

PRÉSIDENTIELLE 2022 : 20 PROPOSITIONS POUR UNE RURALITÉ ACTIVE DYNAMIQUE ET OPTIMISTE

12 candidats ont obtenu les parrainages nécessaires. Une fois encore, les maires ont répondu présents et ont concouru, en étant les principaux pourvoyeurs de parrainages. Ils l’ont fait sous la pression rituelle et un débat récurrent, pour permettre désormais à chaque citoyen de se retrouver lors de l’élection présidentielle des 10 et 24 avril en situation de choisir avec une large pluralité d’opinions.

Il faut que le prochain président de la République prenne l’engagement de réformer le système des parrainages avant la fin de l’année 2022.

L’Association des maires ruraux de France appelle l’ensemble des candidats à prendre conscience des défis et de l’impérative nécessité de lire l’avenir de notre pays avec un regard nouveau sur la ruralité et sur le rôle de la commune et de ses élus. L’enjeu de l’aménagement équilibré du territoire reste à construire et à mettre en œuvre au plus vite pour rompre avec le culte de la concentration et de la priorité aux métropoles.

En matière d’accès aux soins, en matière de déplacements (alternatifs aux déplacements devenus trop chers), à l’emploi, au numérique, aux services publics, la situation reste intolérable pour nombre de nos concitoyens ruraux et les réponses sans commune mesure avec la vie quotidienne. 

Les Maires ruraux ont une partie de la clé et appellent chacune et chacun, à prendre conscience des opportunités à voir le monde rural autrement, comme une ressource, comme un lieu des possibles pour donner un avenir positif à notre pays. Elle rappelle à travers ses 20 premières propositions l’importance de donner la chance à la subsidiarité, au « vivre avec » d’apporter des réponses concrètes à la vie quotidienne.

Ils le feront dans les semaines à venir souvent en commun avec d’autres acteurs, de la ruralité, mais pas seulement, mobilisés eux aussi pour que ces espaces cessent d’être présentés et dénommés comme « périphériques » et leur population comme « abandonnée ». Si elle peut l’être ce n’est pas par les élus ruraux qui seront toujours là et qu’il faudra renforcer dans leurs prérogatives et moyens pendant les 5 ans à venir.

1 . Supprimer l’écart de dotations et de considération entre ruraux et urbains dans toute l’action publique pour un aménagement équilibré du territoire ;

2 . Introduire la notion d’espace dans la Constitution ;

3 . Parier sur l’engagement citoyen actif par un statut de l’élu ;

4 . Permettre que le scrutin de liste pour toutes les communes de France dès le 1erhabitant ;

5 . Permettre aux communes volontaires de recouvrer tout ou partie des compétences obligatoires transférées aux outils intercommunaux ;

6 . Supprimer l’obligation de transfert dans les domaines de l’eau et de l’assainissement ;

7 . Booster l’Agenda rural et le rendre opérationnel dans tous les départements ;

8 . Créer un programme Villages d’avenir pour booster les maires développeurs ouvert à toutes les communes rurales ;

9 . Abonder un fonds spécifique pour accélérer la rénovation du bâti ;

10 . Faire le pari de la jeunesse et favoriser son accueil dans les communes de France ;

11 . Limiter le nombre d’enfants par classe multiniveaux en zones rurales ;

12 . Faire de l’inégalité d’accès aux soins une urgence prioritaire et réduire les inégalités en matière d’espérance de vie ;

13 . S’occuper de nos ainés ruraux et consolider le modèle social des Ehpad ruraux ;

14 . Encourager l’action de proximité pour réussir la transition énergétique ;

15 . Faire le choix affirmé du déploiement du numérique ;

16 . Faire de la téléphonie fixe un service universel ;

17 . Œuvrer à un retour à l’autonomie des communes au service de l’économie réelle ;

18 . Valoriser économiquement les services rendus par la ruralité ;

19 . S’appuyer sur la connaissance des maires de l’état du pays pour améliorer l’action publique ;

20 . Développer une image positive et dynamique de la ruralité.

Pour télécharger le document remis aux candidats à la présidentielle, cliquez ici.

DIX ÉPICERIES SOLIDAIRES S’INSTALLENT EN HAUTE-MARNE (52)

Éric Krezel, président de l’Association des maires ruraux de Haute-Marne (AMR52), a signé, mardi 26 octobre, une convention de partenariat avec Christophe Brochot, co-fondateur de Bouge ton CoQ, Nicolas Lacroix, président du conseil départemental de la Haute-Marne, et Anne-Marie Nedelec, présidente de l’association des maires de Haute-Marne (ADM52) et vice-présidente du conseil départemental de la Haute-Marne afin d’ouvrir 10 épiceries solidaires en Haute-Marne.

L’AMRF PARTENAIRE DE L’OPÉRATION “MON ÉPI”

60 à 80% des villages de moins de 3 500 habitants n’ont pas de commerce de proximité. L’épicerie la plus proche est bien souvent à plus de 5 km… C’est pourquoi, Bouge ton coQ a lancé l’opération « Mon Épi ». 

L’AMRF a décidé de soutenir et promouvoir ce dispositif auprès des élus ruraux et offrir une solution de plus aux communes qui sont à l’action dans ce domaine. 

Mon Épi est une structure de l’Économie Sociale et Solidaire qui a tout le savoir-faire pour créer et accompagner des épiceries associatives.

L’objectif est de permettre aux habitants de s’alimenter en produits locaux et de qualité, à prix attractifs, en recréant du lien social au cœur du village grâce à la création d’une épicerie associative. 

Pour ce faire, vous aurez besoin d’un local et de citoyens qui donnent quelques heures de leur temps, par mois, pour assurer le bon fonctionnement de l’épicerie. 

Bouge ton coQ et l’AMRF vous accompagneront tout au long de la mise en place de votre épicerie : de la création des statuts, à l’ouverture de l’épicerie associative. Vous pourrez, par exemple, bénéficier d’un accompagnement sur-mesure par téléphone ou en visioconférence. 

Pour vous aider dans cette démarche, 1 100€ vous seront offerts pour couvrir les dépenses liées à l’installation de cette épicerie. 

Cette opération repose sur les dons de citoyens qui souhaitent soutenir les associations qui créent du lien et redonnent vie à nos villages. 

Si vous souhaitez vous engager dans ce projet ou obtenir davantage de précisions, contactez : contact@bougetoncoq.fr

ÉTUDES SANTÉ

Les résultats exclusifs de l’AMRF : Les campagnes, premières victimes de la désertification médicale. Retrouvez les dossiers des études exclusives de l’AMRF : démographie médicale,  espérance de vie, accès aux soins, etc.

AG 2021

MOTIONS ADOPTEES : Deux motions ont été votées lors de l’assemblée générale de l’AMRF le 30 mai 2021. L’une concerne la DGF dérogatoire et la seconde concerne les conditions de la création des communes nouvelles.