L’Association des maires ruraux de France salue les annonces du Premier Ministre, ce vendredi 25 avril 2025 dans le Cantal, au sujet des mesures envisagées par le gouvernement pour réduire les inégalités d’accès aux soins. C’est une étape qui doit répondre dans le combat en faveur d’une santé POUR TOUS, PARTOUT et TOUT le TEMPS.
L’AMRF et Les Nouvelles Filles de la Campagne s’unissent pour valoriser les actions locales et les femmes qui les portent.
Pour cet épisode Nathalie Gavoille, maire de Trochères (21) et référente ERRE montre que l’engagement local peut faire une réelle différence dans la lutte contre les violences intrafamiliales, tout en gérant sa vie de famille et sa carrière. Découvrez comment Nathalie Gavoille, par son engagement quotidien, rend sa communauté plus solidaire et résiliente.
Commune : Billom Département : Puy de Dôme (Auvergne-Rhône-Alpes) Code commune : 63040 Population : 4800 habitants Superficie : 1690 Ha
DESCRIPTION DU PROJET
Thème : Mobilité
Résumé du projet : Installation de panneaux pour faciliter le covoiturage spontané dans les communes
Contexte : Un étudiant de l’université de Clermont-Ferrand avait souvent recours au covoiturage lorsqu’il ratait son bus pour aller en cours au lycée. A force, il a eu l’idée d’installer des panneaux en bois à des endroits stratégiques pour faciliter et sécuriser l’auto-stop. La commune de Billom a permis de faciliter l’implantation du projet dans le territoire.
Objectifs : Institutionnaliser et sécuriser l’auto-stop pour permettre aux jeunes sans permis et aux seniors en difficulté de se déplacer plus facilement
LE PROJET EN DÉTAIL
Déroulement : Les premiers panneaux expérimentaux ont été proposés à la commune de Billom en 2021. Le projet est devenu un véritable service grâce au premier accord avec le massif du Sancy en 2023. Le jeune entrepreneur a étendu son action pour proposer sa solution à la communauté de communes de Billom, ainsi qu’au Pôle Métropolitain du Genevois Français avec le service Léman Stop. Aujourd’hui, la société de l’économie sociale et solidaire se développe et agrandit ses locaux et son équipe.
Année de réalisation : 2021
Durée de réalisation du projet : Depuis sa création en 2021, la solution est devenue en 2023 un véritable service
Coût financier : 2200 euros pour le panneau sur deux montants et qui affiche plusieurs plaques de destinations (jusqu’à 7 plaques). 1200 euros pour le panneau sur un montant qui affiche les plaques d’une seule destination (jusqu’à 9 plaques).
Ingénierie : L’équipe HALT Ô STOP, l’association de réinsertion partenaire, les communautés de communes partenaires
Cofinancement (prévu) : Possibilité d’utiliser le fond pour le covoiturage (80% de financement). Le paiement est réalisé par les CDC qui acquièrent le mobilier. Elles peuvent demander des subventions auprès de l’État.
Partenaires mobilisés(prévus) : Service créé de A à Z par l’équipe et les fournisseurs. En partenariat avec les collectivités, mobilisation d’associations locales pour l’animation du service.
POUR ALLER PLUS LOIN
Résultats attendus : Sécuriser le covoiturage spontanée et donner un cadre institutionnel à la pratique pour pouvoir étendre le projet partout en France.
Difficultés rencontrées : Il est parfois compliqué de convaincre les communes de la pertinence du projet, malgré son efficacité. Au niveau de l’ingénierie, les plots en béton et les aménagements doivent être réalisés par les communes, mais l’équipe se charge de la livraison et de la mise en place des panneaux.
A Billom, bourg rural du Puy-de-Dôme, un étudiant de l’université de Clermont-Ferrand s’est donné l’opportunité de bousculer les habitudes de mobilité dans sa commune. Alors qu’il avait souvent recours à l’auto-stop lorsqu’il ratait son bus pour aller au lycée, Loan Momboisse s’est mis en tête de faciliter et sécuriser la pratique. D’après lui, l’auto-stop « sauvage » représente encore trop de biais cognitifs négatifs pour les conducteurs, souvent hésitants à prendre des auto-stoppeurs en voiture. Il estime que la pratique nécessite un réel aménagement sécurisé pour faciliter l’échange, avec des arrêts définis et des panneaux simples d’utilisation.
Avec l’accord des élus de la commune en 2021, des premiers panneaux expérimentaux ont vu le jour à Billom. A l’été 2023, le massif du Sancy a validé et donné son accord pour aménager le premier service de panneaux HALT Ô STOP. Ce qui n’était à la base qu’un projet associatif avec trois amis de la fac est rapidement devenu une véritable entreprise au service des communes. Accompagné par son amie Méline, designer des produits de l’entreprise, HALT Ô STOP s’est également développé dans le pôle métropolitain du Genevois Français, pour toucher de nouvelles communes.
En octobre 2024, Billom Communauté a adopté le service en tant que solution officielle de mobilité. L’entreprise, désormais une société de l’économie sociale et solidaire, collabore avec une association de réinsertion pour la fabrication des panneaux. Elle intègre des personnes éloignées de l’emploi qui souhaitent se réinsérer ou des jeunes en difficulté.
Construits en matériaux durables en circuit court, les panneaux peuvent afficher plusieurs destinations et durer jusqu’à 15 ans. Disponibles gratuitement et en accès libre, ils permettent de réduire l’utilisation de la voiture tout en arrangeant les utilisateurs non véhiculés. En plus d’offrir un cadre institutionnel rassurant, ils sont installés en collaboration avec les communes, qui peuvent aménager des espaces dédiés pour l’arrêt des véhicules.
Si la mise en place d’un nouveau service peut être un défi pour les collectivités, une fois le premier pas franchi, l’adhésion est forte. Avec une équipe dynamique, l’objectif d’HALT Ô STOP est clair : déployer ce service à grande échelle pour démocratiser un covoiturage spontané, solidaire et structuré. Billom en a été le laboratoire, mais l’initiative pourrait bien se développer partout en France.
Ce lundi 3 février 2025, l’Association des maires ruraux de France et la Fédération Nationale Solidarité Femmes ont signé une convention pour accélérer l’efficacité de l’engagement des deux réseaux dans le combat contre les violences intrafamiliales dans les villagesLa convention vise à développer les liens entre l’AMRF et la FNSF au plan national et local, pour notamment favoriser la mise en place de partenariats conventionnés au niveau départemental pour une action conjointe dans la lutte contre les violences faites aux femmes, en particulier conjugales ou encore mettre en place des campagnes communes de sensibilisation, outils de communication, plaidoyers et études conjointes portant sur les violences faites aux femmes en milieu rural. Depuis 2022, l’AMRF déploie un réseau de conseillers municipaux dans plusieurs milliers de communes rurales afin d’aider les personnes confrontées à ces violences. Dominique Chappuit, maire de Rosoy, vice-présidente en charge de l’action représentait l’AMRF à la signature et organise en 2025 un Tour de France pour déployer plus fortement le réseau des sentinelles grâce à la force de la proximité de la solution communale.
TÉMOIGNAGES DE NOS MEMBRES ÉLU.E.S RURAUX RELAIS DE L’ÉGALITÉ (ERRE)
« Mon projet est de participer à faire en sorte que le plus grand nombre d’élus puissent avoir connaissance de ce que sont les violences conjugales, qu’ils et elles puissent accueillir et orienter les victimes. Pour ce faire, je voudrais en lien avec les acteurs engagés dans ce champ, proposer des actions de sensibilisation, d’information et de formation, en zones rurales, au plus près des élus. Je m’engage avec la certitude que faire vivre ce réseau participera à une meilleure prise en compte des violences. Je souhaite également que les élus puissent s’appuyer sur ce réseau pour mettre en place des actions de lutte contre les inégalités. Je m’engage à relayer les informations, et à faire en sorte qu’à terme, chaque conseil municipal soit doté d’un ou deux élus référents qui seront les relais incontournables de ce réseau au niveau local. »
Anne JouanjeanRéférente départementale ERRE de la Somme Adjointe à la mairie de Fontaine
« Dans l’Yonne la mobilisation conjointe de l’AMRF, de la préfecture et du Conseil Départemental a permis (lors de 14 réunions réparties sur tout le département et en visio) de sensibiliser les 211 élus ERRE désignés par délibération, ainsi que les maires et leurs secrétaires de mairie».
Catherine MaudetRéférente départementale ERRE de l’Yonne Vice présidente de l’AMR 89
« ERRE, c’est l’opportunité de rencontrer de nouvelles personnes avec les mêmes préoccupations pour défendre et soutenir cette cause qui m’est chère depuis longtemps, que sont les violences conjugales et intrafamiliales. »
Nathalie GavoilleRéférente départementale ERRE de la Côte d’Or Maire de Trochères
« L’Association des Maires Ruraux de Haute- Saône, à travers le programme ERRE, a joué un rôle actif en intégrant des instances directement liées aux thématiques de l’égalité et de la lutte contre les violences, renforçant ainsi son engagement envers ces enjeux essentiels au sein de notre département. »
Rachida Laoufi SaberRéférente départementale ERRE de la Haute Saône Conseillère municipale de St-Loup-sur-Semouse
« ERRE s’inscrit dans cette logique d’être au plus près des victimes, le dispositif est disponible sur place, 7 jours sur 7 et 24h sur 24. Cela constitue l’assurance pour les victimes que quelqu’un est là pour les accueillir, entendre leur parole et les aider dans leurs démarches ; pour les potentiels auteurs, cela leur envoie le signe que la commune sera toujours au côté des victimes et qu’elle s’engage pour prévenir et combattre tout acte de violences intrafamiliales sur son territoire. »
Catherine MaupetitJuriste et victimologue Membre du conseil scientifique de l’AMRF
« Comme avocate, j’ai eu à connaître de parcours de femmes fracassées par l’attitude de leurs conjoints ou compagnons, incapables de se détacher de leur bourreau, à cause des enfants, de la dépendance économique…. et de tout le reste. Alors quand s’est présentée la nécessité d’un référent départemental, j’ai levé la main. Les femmes et aussi les hommes le valent bien. Il faut arrêter les dégâts causés par les VIF. »
Annie DeborbeRéférente départementale de l’Allier Maire de Jaligny sur Besbre
« Les élus ruraux sont souvent en première ligne dans les cas de violences intra-familiales, mais nous n’avons généralement ni les compétences ni les connaissances pour y faire face. Grâce au réseau ERRE, nous pouvons acquérir des bases solides pour gérer ces situations dans les meilleures conditions. Nous sommes ainsi en capacité d’accueillir, écouter, accompagner les victimes qui se présentent à nous, mais aussi de contribuer à la sensibilisation de tous. »
Sabrina AncelRéférente départementale ERRE de la Haute-Savoie Maire de Saint Jean de Tholome
« L’Association des Maires Ruraux de l’Eure vise à désigner un référent dans chaque commune rurale, avec le soutien de Simon Babre, préfet de l’Eure. Un courrier, co-signé avec le préfet, sera envoyé prochainement à chaque commune rurale, accompagné d’une délibération visant à mettre en place un référent. Cette initiative comprend également une formation gratuite, dispensée par des professionnels à chaque référent. L’objectif du référent ERRE est d’orienter les personnes en situation de souffrance vers les services appropriés et de leur fournir les outils nécessaires pour les aides.»
Laurance BussièreRéférente départementale ERRE de l’Eure Présidente des maires ruraux de l’Eure
ERRE trouve sa justification dans une décision forte du Bureau de l’AMRF et dans un rapport d’information sénatorial alarmantconcernant les conditions de vie de femmes vivants dans les milieux ruraux. En effet, le rapport souligne que la moitié des féminicides se produisent en milieu rural alors que ces zones ne sont occupées que par un tiers de la population.
Les milieux ruraux sont reconnus comme étant des amplificateurs d’inégalités, ERRE vise à inverser ce processus, en palliant aux obstacles rencontrés dans le monde rural. Profitant de la spécificité positive de l’élu d’être accessible « dès le premier mètre », la présence d’élus ruraux relais de l’égalité vise à permet de rapprocher l’information vers la population bénéficiaire du projet.
L’ENGAGEMENT DES ÉLUS RURAUX EN VIDÉO
LE PROGRAMME ERRE
Pour lutter contre les violences et les inégalités en milieu rural,l’AMRF a répondu à un appel à manifestation d’intérêt interministériel visant à mettre en place des actions adaptées aux spécificités des territoires ruraux en faveur des femmes et de la lutte contre les violences. Avec sa nouvelle action « Élu Rural Relais de l’Égalité », l’association continue la trajectoire inaugurée lors du Congrès « La Femme, La République, La Commune ».
ERRE a vocation à s’appliquer à toute situation de discrimination rencontrée sur une commune rurale : raciale, LGBTQI+, situation de handicap… Les élus sont formés à accueillir la parole des victimes et à les orienter les structures d’accueil les plus adaptées.
L’action ERRE se décline autour de trois axes, adaptés en fonction des spécificités départementales et de la mobilisation du réseau :
1. La désignation d’élus référents volontaires départementaux et communaux.
2. La formation de ces élus – formation à l’accueil, à l’accompagnement et à l’aide des victimes ; participation aux différents forums réguliers en visioconférence ; grâce à des interventions d’experts.
3. L’animation d’un réseau national et départemental, mettant en lien l’ensemble des acteurs impliqués afin de travailler en complémentarité.
Au niveau national, cette action est portée par Dominique Chappuit maire de Rosoy (89) et Eric Krezel maire de Ceffonds (52).
2. Q : Est-ce que j’ai besoin de formation particulière ? Quel est le profil d’un.e élu.e relais de l’égalité ?
R : Vous devrez savoir communiquer et écouter des personnes en détresse et être capable de leur témoigner de la compassion et de la bienveillance. Il est nécessaire que vous soyez prêt à vous engager à accompagner ces personnes et à les suivre dans leurs démarches vers la sortie de leur situation.
3. Q : Où recevoir les victimes ?
R : Là où la victime souhaite ; cela pourrait être à la mairie, dans la salle des fêtes. Dans tous les cas, il faut que cet endroit permette de la confidentialité et une ambiance vous permettant de parler librement. Il faut éviter de recevoir les victimes à votre domicile ni chez la victime pour les raisons de sécurité.
4. Q : Si la victime se présente avec des hématomes
R : Faire le point sur sa situation, la rassurer, contacter avec elle son médecin référent (il est impératif que ses blessures soient enregistrés) et si elle est d’accord la brigade locale.
5. Q : Comment trouver un abri pour la victime ?
R : Vérifiez si votre département s’est doté de logements d’urgence (Centre d’Hébergement d’Urgence), d’un Service intégré d’accueil et d’orientation (SIAO), d’un Hébergement d’Urgence du C.C.A.S., d’une antenne départementale de Solidarité femmes. Appelez le 115.
6. Q : Est-ce que j’ai le droit de l’accompagner à la gendarmerie ?
R: Oui : Selon le 10-2 du Code de Procédure Pénale – 8ème alinéa et repris par l’article 10-4 : 8° : D’être accompagnées chacune, à leur demande, à tous les stades de la procédure, par leur représentant légal et par la personne majeure de leur choix, y compris par un avocat, sauf décision contraire motivée prise par l’autorité judiciaire compétente. A tous les stades de l’enquête, la victime peut, à sa demande, être accompagnée par son représentant légal et par la personne majeure de son choix, y compris par un avocat, sauf décision contraire motivée prise par l’autorité judiciaire compétente. Voir le Code de Procédure Pénale : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006071154
7. Q : Quelles violences sont punies par la loi ?
R : Les violences physiques (coups, brulures, strangulations, morsures, bousculades etc.),sexuelles (harcèlement, agressions, viols), verbales (injures, intimidations, dévalorisations), les violences psychologiques (menaces, humiliations, chantages, interdictions de contacter ses proches), matérielles (vol, brisure d’objets, confiscation des documents), économiques (confiscation des moyens de paiement, interdiction de travailler, contrôle des dépenses), cyber violences (harcèlement, cyber surveillance ou contrôle).
8. Q : La victime dit qu’elle n’aurait pas dû venir
R : Lui dire que vous la comprenez, que la démarche est difficile et qu’elle fait preuve de courage. Ne lui forcez pas à vous parler, mais plutôt faites preuve de patience et de la bienveillance. Dites lui que vous êtes là pour l’aider.
9. Q : La victime vous dit que vous ne comprenez pas
R : Lui dire que c’est sa perception, qu’elle est forcément juste. Vous lui demandez de vous dire quelles sont ses attentes, ses peurs.
10. Q : Comment me protéger de l’auteur des violences ?
A : Il ne faut pas le contacter, confronter ni tenter de méditation avec la victime. S’il faut que vous lui parliez, demandez la présence d’un gendarme. Ne divulguez pas votre adresse à la victime et dissimulez votre nom et vos coordonnées dans le répertoire de portable de la victime.
Éric Krezel, président de l’Association des maires ruraux de Haute-Marne (AMR52), a signé, mardi 26 octobre, une convention de partenariat avec Christophe Brochot, co-fondateur de Bouge ton CoQ, Nicolas Lacroix, président du conseil départemental de la Haute-Marne, et Anne-Marie Nedelec, présidente de l’association des maires de Haute-Marne (ADM52) et vice-présidente du conseil départemental de la Haute-Marne afin d’ouvrir 10 épiceries solidaires en Haute-Marne.
https://www.youtube.com/watch?v=3YUkHybvir8
L’AMRF PARTENAIRE DE L’OPÉRATION “MON ÉPI”
60 à 80% des villages de moins de 3 500 habitants n’ont pas de commerce de proximité. L’épicerie la plus proche est bien souvent à plus de 5 km… C’est pourquoi, Bouge ton coQ a lancé l’opération « Mon Épi ».
L’AMRF a décidé de soutenir et promouvoir ce dispositif auprès des élus ruraux et offrir une solution de plus aux communes qui sont à l’action dans ce domaine.
Mon Épi est une structure de l’Économie Sociale et Solidaire qui a tout le savoir-faire pour créer et accompagner des épiceries associatives.
L’objectif est de permettre aux habitants de s’alimenter en produits locaux et de qualité, à prix attractifs, en recréant du lien social au cœur du village grâce à la création d’une épicerie associative.
Pour ce faire, vous aurez besoin d’un local et de citoyens qui donnent quelques heures de leur temps, par mois, pour assurer le bon fonctionnement de l’épicerie.
Bouge ton coQ et l’AMRF vous accompagneront tout au long de la mise en place de votre épicerie : de la création des statuts, à l’ouverture de l’épicerie associative. Vous pourrez, par exemple, bénéficier d’un accompagnement sur-mesure par téléphone ou en visioconférence.
Pour vous aider dans cette démarche, 1 100€ vous seront offerts pour couvrir les dépenses liées à l’installation de cette épicerie.
Cette opération repose sur les dons de citoyens qui souhaitent soutenir les associations qui créent du lien et redonnent vie à nos villages.
Si vous souhaitez vous engager dans ce projet ou obtenir davantage de précisions, contactez : contact@bougetoncoq.fr
Les résultats exclusifs de l’AMRF : Les campagnes, premières victimes de la désertification médicale. Retrouvez les dossiers des études exclusives de l’AMRF : démographie médicale, espérance de vie, accès aux soins, etc.
MOTIONS ADOPTEES : Deux motions ont été votées lors de l’assemblée générale de l’AMRF le 30 mai 2021. L’une concerne la DGF dérogatoire et la seconde concerne les conditions de la création des communes nouvelles.
Stimuler la création d’une épicerie – L’AMRF est partenaire de Bouge ton coq et Mon épi pour encourager les habitants à s’organiser et créer une épicerie associative.
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