1 – Faciliter l’implication des élus ruraux dans l’effort national et européen de lutte contre le changement climatique en constituant une communauté d’acteurs apprenante et engagée dans la transition écologique, capable ainsi d’initier, de conforter, de démontrer et donner à voir, de piloter, d’essaimer de puissantes dynamiques territoriales et au final d’inspirer leurs collègues et les autres acteurs.
2 – Permettre d’engager par le bas des démarches de transition à haute qualité démocratique.
Les communes rurales ont pour cela un atout majeur : la petite taille de leur organisation permet la concordance d’un territoire avec une communauté capable de porter un projet de société.
Les maires, appuyés par la démarche du Grand Atelier pour la transition écologique, se trouveront confortés dans leur rôle de garant d’une citoyenneté active et inclusive, celle de la démocratie du faire, qui permet à chacun de trouver sa place dans un récit global.
Ainsi les projets de territoires engagés ne seront pas uniquement institutionnels mais s’inscriront bien dans une démarche de changement culturel, capable d’embarquer l’ensemble des acteurs qui les constituent et de réconcilier les aspirations sociales avec le fonctionnement des institutions républicaines.
3 – Permettre un changement d’approche de la transition écologique, moins portée sur une visée technique et d’investissement que sur une mise en capacité politique et citoyenne des territoires.